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Réflexions anti prise de tête

De quoi réfléchir pour vous développer plutôt que pour vous auto coincer ! :)
Esprit du bien-être / Réflexions anti prise de tête

Vivre + léger ! …

… en abordant autrement votre nouvelle année

Avec quel état d’esprit abordez-vous cette année naissante ?
Quel regard portez-vous sur la précédente ?
Comment est-ce que ce regard contribue positivement à ce que vous allez vivre à partir de maintenant ?

Que diriez-vous de le faire évoluer ?

Si vous avez envie d’aborder votre nouvelle année le cœur plus léger, nous vous proposons de vous poser les bonnes questions et de vous en créer une jolie trace par écrit

 

That is ze question

Que vous a apporté l’année qui vient de s’écouler ?

Si vous avez tendance, en pilote automatique, à répondre « Que des emm… » ou « bof, pas grand chose », il est à parier que vous ne vous concoctiez pas exactement l’état d’esprit le plus approprié pour bien vivre cette année.

Si l’année a vraiment été difficile, qu’est-ce que ces em… vous ont appris dans l’absolu, sur vous, sur les autres ?

Quelles nouvelles compétences pouvez-vous en retirer ?

 

Si vous avez vécu (ce que nous vous souhaitons 🙂 ) de belles choses, bons moments, belles rencontres, expériences intéressantes, évolutions positives, limites dépassées, comment vous y prenez-vous pour les capitaliser ? Et pour vous sentir encore plus dynamisé ?

Que faites-vous pour vous sentir vraiment enrichi(e) par ces événements de vie ?

 

Gratitude

Vous pouvez vous concocter très simplement un vrai beau « bil An » : vos « Mercis de 2019 » Autrement dit, tout ce qui a pu y être agréable et intéressant : les moments chaleureux, les coups de mains reçus, les rencontres qui valaient le coup, les relations nouvelles ou anciennes qui vous font du bien, les pas et progrès que vous avez fait, les apprentissages que vous avez intégrés, les améliorations, les réussites, que vous vous êtes offert.

L’objectif est de poser un regard bienveillant et reconnaissant sur ce que vous avez vécu sur votre meilleur de l’année posé sur papier (ou écran 🙂 ).

Et de pouvoir ressentir de la gratitude.

A quoi ça sert ?

Si on en croit le dictionnaire, la gratitude est « la reconnaissance de bienfaits reçus ou de services rendus se traduisant par un sentiment affectueux et amical »
Donc à avoir un « sentiment affectueux et amical » vis à vis de la vie.
Donc de donc, à … se sentir bien !

 

Un bon coup de crayon

Vous pouvez en faire une liste de façon classique, séquentielle.

Vous pouvez faire encore mieux en représentant en arborescence, grâce au Mind Mapping qui ajoutera quasiment une 3ème dimension à votre pensée.
Vous allierez ainsi cerveau droit (créatif) et cerveau gauche (logique) et pourrez beaucoup plus facilement associer vos idées comme le fait spontanément votre esprit.

Vous pouvez vous inspirer de celui ci, évidemment en le customisant à votre guise, ou même le télécharger et compléter

Vous en créer un sur papier en en profitant pour vous offrir les feuilles et crayons qui vous plaisent ou sur écran avec un logiciel en ligne
Vous pourrez en trouver ici : http://socialcompare.com/fr/comparison/list-of-free-mind-mapping-and-concept-mapping-softwares

Quelque soit le média que vous choisirez, il vous suffit de respecter quelques règles :

  • Le centre = le titre
  • Les branches principales = les têtes de chapitre
  • Les branches secondaires = les sous-parties

Le bon format sera celui qui vous plaira le plus.
L’essentiel est que vous ayez du plaisir à le faire, voire que plus vous avancez dans votre création, plus votre sourire s’accroche aux oreilles.
Et qu’une fois terminé, vous preniez plusieurs minutes à ressentir de la gratitude pour ce que, tout bien considéré, la vie vous aura apporté cette année.

Amusez-vous bien !

... en allégeant le poids du regard des autres

…en allégeant le poids du regard des autres

ou, pourquoi 2 poids 2 mesures ?

Imaginez une balance à plateaux. L’équilibre est délicat. Si l’un des deux est au départ lesté de poids, comment peut-elle être juste ?

Comment le plateau déjà alourdi pourrait-il remonter à l’aplomb, autrement qu’en se débarrassant de sa charge ?

Les relations que nous avons avec les autres fonctionnent exactement de la même façon
Comment une relation peut-elle être juste si elle part plombée ?
Mais qui plombe ? …
Comment se fait-il que nous acceptions d’aborder, d’entrer dans une relation si elle ne part pas sur une base saine ? Comment se peut-il que nous nous lestions nous-même ?

Et vous, comment abordez-vous un échange ? Dans quelle position vous mettez-vous ? Dans quelle position mettez-vous l’autre ?

Timidité, réserve, sentiment d’infériorité, peur du rejet, manque d’audace, manque d’assurance sont autant de poids dont nous nous chargeons nous même … et qui pèsent lourd dans la balance relationnelle et la faussent.

Et si vous décidiez de faire autrement ?

Si nous remplacions ce déséquilibre où l’autre prend une place trop importante par acceptation d’abord de soi, mais aussi de l’autre, volonté de coopération, envie d’échanges ?

Facile à dire ?
Plus facile qu’à faire, c’est vrai.
Mais commencer déjà par le décider est le 1° pas 🙂

Ensuite, s’entrainer à réfléchir et ressentir différemment.

5 trucs pour alléger le poids du regard de l’autre

voire, soyons fous, s’en libérer !
Si vous lisez avec attention et concentration ce qui suit, vous augmentez forcement vos chances d’entendre un “mais c’est vrai çà, pourquoi ? ” libérateur et déclencheur d’un vrai passage à l’action 🙂

1. Carcan ou curiosité ?

Quelle est
votre relation au jugement ? Etes-vous affligé(e) de cette fâcheuse tendance à remarquer d’abord à ce qui ne va pas ?
Pensez-vous par conséquent que l’autre va forcément focaliser ce qui ne va pas chez vous ?

Sanglé de ces impitoyables “il faut ”, “il ne faut pas ”, “c’est bien ”, “c’est mal ”, “c’est nul ”, …
le jugement systématique est un encombrant carcan, dans lequel nous enfermons autant l’autre que nous …

Et si vous laissiez tomber le jugement systématique pour être dans l’acceptation et la curiosité ?
Qui plus est, c’est beaucoup moins fatiguant !

 

2. Comparaison ou coopération ?

Dans quelle position avez-vous tendance à vous mettre vis à vis de vos interlocuteurs ?
Pensez-vous qu’ils sont “plus ” … que vous ? Plus quoi ? intelligents / pertinents / puissants / forts / beaux / riches / … ?
Et que vous êtes donc “moins ” … ?

Et si vous regardez les choses objectivement ?
Pourquoi y aurait-il donc 2 poids 2 mesures ?

Quel avantage en tirez-vous ? Est-ce que ça vous aide dans la vie ?
Non ? Alors, pourquoi le faites-vous !? 😉

Et si sortir de la comparaison nous libérait de la soumission et nous permettait d’aller vers la responsabilisation et la coopération ?

 

3. Les 3 bonnes questions

A bien y réfléchir, qu’est-ce qui justifie vraiment que :

  1. votre valeur dépende des autres ?
  2. vous accordiez un pouvoir à l’autre que vous ne vous accordez pas à vous-même ?
  3. vous dépensiez tant d’énergie à vous dénigrer et à le mettre sur un piédestal ?

Et si vous vous accordiez de la valeur sans attendre la permission de qui que ce soit ?

 

4. T’es qui toi ?

Quand nous nous mettons dans la dépendance de l’assentiment d’autrui, sommes-nous vraiment proches de nos valeurs ? Prenons-nous vraiment la responsabilité de notre vie ?
Sommes-nous vraiment qui nous voulons être ?
Et si nous libérer de nos carcans, nous rapprochait de notre meilleur nous ?
Et si être libre du regard de l’autre nous permettait d’être qui nous avons envie d’être ?

 

5. Le pot fêlé et les fleurs

En résumé, une jolie légende

Une vieille paysanne allait tous les jours chercher de l’eau dans 2 pots qu’elle portait chacun suspendu à une extrémité d’une perche posée sur ses épaules.
L’un des deux était fêlé et laissait fuir une bonne partie de son contenu sur le chemin, tandis que l’autre était parfait et ne perdait pas une goutte. Naturellement, le pot entier était très fier de toute l’eau qu’il réussissait à apporter. Et le pot fêlé se sentait honteux et piteux de ne pouvoir accomplir que la moitié de ce pour quoi il avait été fabriqué.
Après des mois de ce qu’il percevait comme une déception, il parla à la vieille paysanne :

“- J’ai honte de moi et souhaite m’excuser.
– Pourquoi ? De quoi as-tu honte ?
– Je n’ai pu tout ce temps livrer que la moitié de l’eau, à cause de ma fêlure. Je vous rends le travail plus difficile, je ne vous donne pas la pleine valeur pour vos efforts“

La paysanne sourit en lui montrant les fleurs resplendissantes le long du sentier :

“- As-tu remarqué qu’il y a des fleurs que sur un côté du chemin. Le tien.
C’est parce que j’ai toujours connu ton défaut et j’en ai pris avantage. J’ai semé des graines sur ce coté du sentier et chaque jour, au retour de la source, tu les arroses. Grâce à toi, j’ai pu faire pousser et entretenir ces fleurs et avoir de quoi décorer ma maison.
Sans toi, tel que tu es, je n’aurais pas eu ces beautés pour agrémenter mon logis“.

Morale de cette histoire ?

Nous sommes tous fêlés 😉
Autrement dit, nous avons chacun nos défauts.
Apprécier chacun, nous compris !, pour ce qu’il est et savoir accepter nos fêlures et fragilités, apprendre à regarder le bon coté de chacun, rend nos vies intéressantes et valant la peine d’être vécues.

Et puis, « Si vous avez l’impression que vous êtes trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique …, vous verrez lequel des deux empêche l’autre de dormir. » – Dalaï Lama

Vous en voulez plus ?
Vous êtes les bienvenus à notre atelier Allégez le poids du regard des autres où vous pourrez trouver de quoi travailler consciemment et inconsciemment sur votre relation aux autres et à vous !

... en vous libérant du poids du passé

…en vous libérant du poids du passé

Avez-vous déjà marché dans la boue ? Comment avancez-vous quand vos pieds sont lestés d’un lourd magma qui vous glue les semelles ? Quelle attention pouvez-vous accorder à ce qui vous entoure si vous focalisez votre énergie à vous extirper de cette masse marécageuse ?

Quelle énergie vous reste-t-il pour déterminer la meilleure voie ?

A l’inverse, comment marchez-vous si vous êtes sur une herbe verdoyante ? Sur un terrain dégagé ?
Quel plaisir pouvez-vous ressentir à rebondir sur l’élasticité joueuse d’une terre meuble ?
Comment courrez-vous si vous vous sentez porté, en pleine possession de votre force ?

Beaucoup d’entre nous restent embourbés dans leur passé.
Avec la croyance bien ancrée qu’il va forcément déterminer (de préférence négativement 😉 ) notre présent et notre futur.

Et si c’était l’inverse ?
Et si nous pouvions déterminer quelle influence peut avoir notre passé sur nous ?
Et si nous redécouvrions la capacité à boucler un chapitre pour pouvoir écrire sereinement et efficacement le suivant ?

Si on remplaçait remords, regrets, rancœur, peurs, culpabilité, impressions d’échec, manques, toutes ces prisons où le présent perd sa place par volonté de vivre, d’agir, croyances en ses capacités, pardon, envie de vivre, énergie positive ?

Facile à dire ?
Plus facile qu’à faire, c’est vrai.
Mais commencer déjà par décider que l’auto-pollution a fait son temps est la 1° étape indispensable pour vivre + léger

Ensuite, s’entrainer à réfléchir et ressentir différemment.

5 trucs pour alléger le poids du passé

(voire, soyons fous, s’en libérer complétement !)
Voici 5 pistes pour réussir à se dire : « Mon passé n’est ni mon ennemi, ni ma nostalgie »

1. Ciel ou poubelles ?

Pour le passé comme pour le présent, s’il y a bien un choix que nous avons tous, c’est l’orientation que nous souhaitons donner à notre regard. Où que nous nous trouvions nous pouvons toujours décider de focaliser notre attention sur le camaïeu de bleus du ciel ou sur le déplorable débordement de détritus.

Là où va notre regard, va notre énergie …

Certains évènements de vie sont certes des épreuves.
Mais aussi des preuves. Que nous les avons dépassées !
A bien y réfléchir, vaut-il mieux ruminer sur ce qui nous est arrivé ou se réjouir d’avoir réussi à les surmonter ?
Réapprendre à regarder peut nécessiter pour certains un réel entrainement, mais même Usain Bolt fait ses « gammes » avec régularité J

2. Seulement se faire prendre ou apprendre ?

A quoi ces épreuves dépassées peuvent-elles nous servir ? Que nous apprennent-elles de nous ? Quelles capacités sont-elles venues éprouver ? Que pouvons-nous en retirer de positif ?
Quelle nouvelle force en retirons-nous ?
En quoi est-ce que ce que nous tirons comme leçon du passé peut nous permettre de mieux vivre le présent ?

Nous pouvons simplement acter que nous nous sommes fait prendre à un piège probablement pénible, mais nous pouvons aussi nous demander quel usage pertinent nous pouvons faire de ce qui nous est arrivé.

A chacun de décider de comment il peut utiliser son intelligence pour lui !

« Cher passé, merci pour toutes tes leçons.
cher futur, je suis prêt »

3. Résilience ou rumination

La résilience est la « capacité d’un écosystème, d’une espèce ou d’un individu à récupérer un fonctionnement ou un développement normal après avoir subi une perturbation »

C’est Boris Cyrulnik (dont les parents sont morts en déportation) qui a transposé le concept en psychologie en « renaître de sa souffrance »

Même si ce n’est pas une évidence et que les prédispositions ne sont pas identiques pour chacun d’entre nous, nous pouvons au moins vouloir rebondir après une expérience ou une période de vie traumatisante et nous en servir pour nous renforcer.

Peut-être juste histoire d’être plus fort que l’adversité …

4. Prison double peine ou pardon

Nous pouvons avoir fâcheuse tendance à perpétuer pendant des années la rancœur vis à vis de quelqu’un qui nous a fait du malAlors même que ça a peut-être été involontaire, ou simplement maladroit et que l’auteur de ce mal ne s’en souvient peut-être même plus …
Dans tous les cas, c’est lui donner un double pouvoir sur nous !
C’est donc prendre double peine : la souffrance sur le moment, plus celle de continuer à entretenir l’amertume.
Persister dans la rancœur est une prison parce qu’en vouloir à quelqu’un est un énergivore très vorace.
Rester enkysté dans le ressentiment vis a vis de quelqu’un qui nous a été nuisible revient donc à … nous nuire à nous-même

Le pardon est une paix que nous nous accordons d’abord à nous. Une liberté que nous pouvons nous offrir pour éviter de continuer à souffrir.
Une responsabilité vis à vis de notre vie et nos actes que nous décidons d’assumer
Un sentiment de sérénité et de réconciliation avec nous-même.
Juste un pas à franchir.
Pour soi

5. Carottes, Œuf ou Café

En résumé, une jolie métaphore

Une jeune femme qui se sent découragée, accablée par de récents évènements vient chercher du réconfort auprès de sa mère. Celle ci l’écoute un moment raconter tout ce qui lui paraît ne pas aller dans sa vie, puis l’emmène sans un mot dans sa cuisine et remplit 3 casseroles d’eau qu’elle fait chauffer.
Une fois l’eau à ébullition, elle met dans la 1°, des carottes, dans la 2°, un œuf, dans la 3° du café
Et les en sort au bout de quelques minutes

– « Ma chérie, regarde ce qu’est devenu chaque ingrédient.
Les carottes sont toutes molles.
L’œuf est dur mais cassable à l’extérieur et mou dedans
Mais le café lui est excellent, meilleur que s’il avait été plongé dans de l’eau tiède.

Les évènements de notre vie peuvent être comme de l’eau bouillante. Mais la réaction que nous pouvons avoir dépend de qui nous voulons être. Que souhaites-tu être ? Carottes, œuf ou café ? »

Voici quelques pistes qui nous l’espérons vous aideront à vous alléger la vie 🙂

Vous en voulez encore ?
Venez apprendre à faire la paix avec votre passé pour profiter pleinement de votre présent, en travaillant avec la symbolique et votre inconscient à notre atelier Libérez vous du poids du passé

NB : il est évident que dans le cas de traumatismes avérés; une démarche thérapeutique individuelle est indispensable.

NB 2 : nous vous rappelons que le cadre de nos ateliers est celui d’ateliers de développement personnel et d’auto coaching. Nous vous y transmettons des outils pour vous auto coacher.Il ne s’agit ni de thérapie de groupe ni de thérapie individuelle
Dans ce contexte et pour le meilleur intérêt du groupe et de chacun, les problématiques personnelles n’y sont donc pas traitées. Si vous préférez une approche personnalisée et en privé, vous pouvez décider d’un accompagnement